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mercredi 27 mai 2009

Atelier Montessori




Il régnait une atmosphère de ruche dans la classe aujourd’hui. Sibylle et Dya  sont venues travailler et ça n’a pas chômé!
Leur maman m’a proposé de prendre des photos, ce qui fait qu’en prime, vous pourrez me voir à l’oeuvre!
Il serait beaucoup trop long de raconter tout ce qui a été fait dans la classe durant ces 2 heures. Voici donc un petit “best-of”



Après une présentation en règle du plateau du cabinet de géométrie, Sibylle a voulu se plonger dans le tiroir des triangles. Elle y a passé un long moment.






Quant à Dya, après m’avoir montré sa maîtrise dans l’exercice de la Tour Rose et de l’Escalier Marron, elle a eu droit à la présentation des barres bleues qu’elle a patiemment comparées les unes aux autres avant de les mettre en ordre.
Mais son gros travail de la séance fut la 1ère dictée muette. J’avais constaté lors des dernières séances qu’elle décomposait bien les sons et qu’elle avait appris la forme, le nom et le son des lettres -à quelques exceptions près, mais ce n’est pas gênant. 
Je lui ai donc proposé le grand alphabet mobile désormais dans sa belle boîte. Nous avons fait ensemble le tour des lettres qu’elle connaissait. Je lui ai demandé si elle voulait écrire un mot, mais rien ne l’inspirait. Nous sommes donc passées à la 1ère dictée muette. Mis à part une légère confusion entre le “o ouvert” et le “a”, l’exercice ne lui a posé aucune difficulté.





Quant à Clémence, avant l’arrivée de Sibylle et Dya, elle s’était choisi une série d’activités. Elle semblait prête à travailler de bon coeur, mais malheureusement, dès qu’il y a du monde dans la classe, cela devient plus difficile. Elle a commencé par dire qu’elle voulait “lire” (en fait regarder un livre du coin lecture) un tout petit peu. Quand le “tout petit peu” a atteint les 3/4 d’heure avec une Clémence à moitié vautrée par terre, j’ai perdu patience et je l’ai sommée de se mettre au travail. 
Elle a réussi à travailler à peu près correctement, notamment sur des cartes de nomenclature  et sur la table de Pythagore qu’elle avait décidé de reconstruire une nouvelle fois.



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